En 1983 l'ancien chef de la Gestapo, Klaus Barbie, est arrêté. Robert Badinter raconte le sentiment ambivalent qui l'habite lorsqu'il se rend compte qu'en ayant aboli la peine de mort deux ans plus tôt, il vient de sauver la vie de celui qui avait signé l’ordre de déportation de son père au camp d'extermination de Sobibor.