Assistons-nous ces jours-ci à ce qu’on pourrait appeler un “backlash écologique”, un rejet de l’écologie par une majorité de la population ? Question posée après la réponse apportée par le gouvernement à la colère des agriculteurs et alors que les débats se multiplient autour des SUV à Paris ou de l’interdiction des voitures polluantes dans les centre-villes… Alors est-ce possible de répondre au défi climatique sans provoquer la colère des peuples ? Comment réussir l’unité et éviter une guerre culturelle autour de l’écologie ?