Six mois après le crash de la banque Deutsche Global Invest et son sauvetage par l'État allemand, les cartes sont rebattues en profondeur. Gabriel Fenger, l'ex-patron de Jana, purge une peine de prison préventive, mais ceux qui ont véritablement orchestré la crise ont échappé aux sanctions. Christelle Leblanc, qui a œuvré en sous-main pour la prise de contrôle de la DGI par le Crédit international, se retrouve sur la touche, à l'instigation de Ties Jacoby. Mais si le vieux monde bancaire, assujetti à des réglementations plus contraignantes, tourne au ralenti, de jeunes loups brûlent de prendre le pouvoir au sein des start-up de la "fintech" (contraction de "finance" et de "technologie"), pour lesquelles la DGI vient de mettre en place un incubateur à Berlin.